Glenn Albrecht est à l’origine de nombreux néologismes, dont le désormais connu « solastalgie », mettant le doigt sur ce sentiment grandissant de détresse psychique face à la destruction de notre environnement. Aujourd’hui, le philosophe australien propose une alternative au catastrophisme ambiant et aux rhétoriques de fin du monde. Il appelle à une révolution des émotions, grâce notamment à un travail sur le langage, pour entrer dans ce qu’il nomme « le Symbiocène ».
Son Keynote speech sera suivi d'une table ronde animée par Tomás Sercovich avec
- Joanna Krupp, Student - University of Luxembourg
- Louise König, CEO - The New Division
- Caroline Hickman, Lecturer and researcher - Bath University