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Nature and Businesses: Risks and Opportunities

Suite à la COP16 (fin octobre début novembre), il est temps de faire le point ! Comment les entreprises s'engagent-elles face à l’érosion de la biodiversité ? Quelles sont les vraies avancées des "Nature Based Solutions" ?

La EU Nature Restoration Law impose un cadre réglementaire crucial que chaque entreprise doit maîtriser pour transformer son modèle économique. Mais attention, derrière les opportunités, des risques existent : évitons les pièges des solutions « vertes » sans fondements solides.

Rejoignez-nous pour discuter des défis, des opportunités et des preuves à l’appui pour un avenir durable. 

Quand ? Le jeudi 28 novembre de 9h30 à 11h00
Où ? En visioconférence
Pour qui ? Cet évènement est ouvert à tout le monde

Évènement en anglais
Aucun replay ne sera disponible à l’issue de ce webinaire

Pour toute question sur cet évènement, merci de contacter laetitia.mitchell@imslux.lu 

 

Des photos seront probablement prises lors de l'évènement en vue d'être publiées par IMS Luxembourg sur ses supports écrits ou numériques. Si vous ne souhaitez pas figurer sur les photos, veuillez en informer l'organisation au début de l'évènement.
Vous recevrez à l’issue de cet évènement une attestation de participation que vous pouvez fournir à votre service RH.

-    Constats de la COP16
-    Description de la EU Nature Restoration Law
-    Risques et opportunités quant à la mise en place de solutions fondées sur la nature

 

Ana Teresa Fuzzo de Lima, Senior Nature Advisor, Director for Nature and Climate Science at Recarb

Ana Lima est conseillère en matière de nature et possède une vaste expérience des solutions fondées sur la nature, de l'adaptation au climat et des stratégies de durabilité pour les institutions financières, les entreprises et la société civile. Actuellement, en tant que directrice de la science de la nature et du climat chez Recarb, Ana dirige une équipe d'experts du climat, d'analystes spatiaux et d'ingénieurs forestiers qui ont mis au point le premier système de notation des investissements pour évaluer la qualité des projets de restauration des forêts tropicales sur la base de la résilience de l'écosystème. Avec une compréhension approfondie du cadre TNFD pour la gestion des risques liés à la biodiversité, Ana est spécialisée dans l'intégration des peuples autochtones et des communautés locales (IPLC) dans la gouvernance d'entreprise et a fait ses preuves dans les initiatives de décarbonisation, la collecte de fonds et l'établissement de partenariats dans les secteurs privé, public et à but non lucratif. 

 

Stephan Rudolph, Founder of FinTech start-up, EVITY S.A

Stephan Rudolph est le fondateur de la start-up FinTech EVITY S.A., qui se consacre à faciliter, mesurer et démontrer l'impact avec pour objectif de rendre visibles, comparables et exploitables les externalités. Il a façonné le concept du Retour sur Impact monétisé (RoIm) et s'efforce de le rendre tangible. En 2020, il a fondé APODI (Association pour le développement intégratif A.s.b.l.), une association sans but lucratif luxembourgeoise dédiée au changement systémique avec pour objectif global de préserver notre biosphère. De cette initiative est né le concept d'un fonds d'impact de nouvelle génération, offrant à ses investisseurs un retour à la fois monétaire et non monétaire (RoIm), et constituant ainsi la raison d'être d'EVITY S.A. Stephan a plus de 20 ans d'expérience dans l'industrie financière luxembourgeoise, en particulier dans le secteur des fonds, d'abord en tant que consultant en gestion, puis dans plusieurs postes de direction au sein d'une banque dépositaire et d'une société de gestion / AIFM.

* Champs obligatoires

Tasse et verre

Tasse et verre
  • Temps

  • Difficulté

  • Coût

 

 

 

étApes

- Installation de lave-vaisselles

- Communication nécessaire en amont pour sensibiliser les collaborateurs

Difficultés

- Casse
- Vol
- Stockage
- Hygiène
- Choix de la matière utilisée

bonnes pratiques

- RBC a instauré un système de caution pour éviter le vol et inciter les collaborateurs à réutiliser plusieurs fois une même tasse.

- Electrolux a offert à chaque collaborateur une tasse avec son nom.

- Société Générale a décidé de mettre des messages de sensibilisation à même ses tasses.

Bon à savoir

Les tasses et verres ne sont pas dénués d’impact écologique notamment au moment de la production. Il est estimé qu’il faut utiliser une tasse plus d’une centaine de fois pour amortir ce cout écologique, vis-à-vis du cout de production d’un gobelet. Cependant, les tasses et verres sont facilement recyclables en cas de casse, ce qui les rend plus écologiques qu’un gobelet.

Il est préférable de communiquer en amont sur la mise en place d’un système de tasse, ces communications peuvent inclure une partie de sensibilisation en expliquant notamment pourquoi cette décision a été prise (consommation annuelle/mensuelle de gobelets, protection de l’environnement).

Mieux vaut éviter une phase de transition trop longue où tasses et gobelets cohabitent : ne laissez que des tasses aux collaborateurs.